Suite et fin de cette mini rétrospective Burnout avec Wreckreation. Un jeu sorti en octobre dernier.
Après le demi-succès de Dangerous Driving, Three Fields comprit qu'il avait besoin d'un vrai diffuseur. Ce sera THQ Nordic, un habitué des licences. Ironie de l'histoire, c'est le pendant moderne d'Acclaim, le diffuseur attitré de Criterion...
En 2018, Three Fields et THQ Nordic sortirent ainsi Wreckfest, un jeu de stock-car. Il fut suivi d'une suite, nommée logiquement Wreckfest 2.
Three Fields avait travaillé sur un Dangerous Driving 2. Faute de budget, il avait été mis de côté. Avec le succès - relatif - de Wreckfest, l'éditeur disposait enfin des fonds. Et pour le rattacher à Wreckfest, il fut nommé Wreckreation.
Dans un esprit Burnout, le fait d'envoyer son adversaire dans le décor ou de se crasher compte presque autant que de gagner la course !
"Wreckreation" est la contraction de "Wreckfest" et de "récréation". Mais c'est aussi la contraction de "Wreckfest" et de "création". Car le jeu est en monde ouvert. On peut générer des circuits, y insérer des obstacles, etc.
Cela rappelle Trackmania, pour le côté surréaliste. Les crashs en plus.
L'accueil du public est mitigé.
D'un côté, c'est un jeu à 39,99€. Le fun et l'originalité sont là.
Par contre, les graphismes n'ont rien à voir avec ce qui est "vendu". En plus, les différentes voitures ont toutes plus ou moins les mêmes caractéristiques. A se demander comment un jeu conçu en 6 ans peut être aussi bâclé...







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