Crash Bandicoot fut un des jeux phares de la PS1. Un plateformer coloré et rigolo. C'était d'ailleurs un exploit de réaliser quelque chose d'original, compte tenu de l'avalanche de titres durant la période 85-95...
Crash Bandicoot était une création de Naughty Dog, mais Universal Interactive en avait les droits. D'emblée, les développeurs voulurent traire la vache à lait avec un clone de Mario Party (Crash Bash) et un de Mariokart (Crash Team Racing.)
Ensuite, pour maximiser les sorties, Universal Interactive multiplia les dévellopeurs : Traveller's Tales, Vicarious et Radical Entertainment. Universal Intractives devint alors Vivendi Games, avant de vendre son catalogue à Activision. On était alors à deux titres par an et la qualité baissait.
Ce qui a tué (provisoirement) la franchise, ce n'était pas les plaintes des fans, mais une bagarre sur la propriété des droits.
Finalement, Activision a récupéré l'usufruit de la série. Ils ont confié le développement à Toys for Bob, qui s'est mué en tâcheron après le départ des fondateurs.
Après Crash Bandicoot 4 : It's about time et Crash Bandicoot : on the run (un jeu pour smartphone développé par King !), voici Crash Team Rumble.
C'est le concept de Smash Bros, mais uniquement en ligne. Avec huit joueurs sur un ring.
Notez que le but officiel, c'est de récupérer le maximum de wumpa et de les mettre en lieu sûr. Mais il faut empêcher les adversaires de faire de même et tous les coups sont permis.