samedi 26 février 2011
La Red Bull X2010 de Gran Turismo 5
Mieux vaut tard que jamais! Voici donc quelques mots sur Gran Turismo 5. Plus de voitures, de circuits, de modes, de personnalisation... Et donc, cette Red Bull X2010 à remporter.
Une voiture développée exprès pour le jeu, par l'écurie de F1. Dire qu'il y a 10 ans, les constructeurs regardaient les jeux vidéo de haut. "Vous voulez mettre notre voiture dans votre jeu vidéo? OK, donnez-nous x euros et on vous donne 3 photos pour votre modélisation"...
Tron: Legacy: the game (2011)
Tron: Legacy a été conçu comme une de ces grosses machines commerciales. Le merchandising faisait parti intégrante du plan de bataille.
D'où évidemment, un jeu vidéo (ici, la version iPhone.) Il est vrai que le scénario du film s'y prêtait bien et que le premier Tron avait lui-même donné lieu à des jeux vidéos.
Au menu: courses de light cycles, batailles de disques et FPS. Les concepteurs ont pu assister au tournage et les Daft Punk sont intervenus pour la musique. D'après les critiques, le résultat est "moins pire" que la moyenne des adaptations de films. Hélas, comme d'habitude, on a voulu aller trop vite pour privilégier la rentabilité.
A réserver aux fans, donc.
D'où évidemment, un jeu vidéo (ici, la version iPhone.) Il est vrai que le scénario du film s'y prêtait bien et que le premier Tron avait lui-même donné lieu à des jeux vidéos.
Au menu: courses de light cycles, batailles de disques et FPS. Les concepteurs ont pu assister au tournage et les Daft Punk sont intervenus pour la musique. D'après les critiques, le résultat est "moins pire" que la moyenne des adaptations de films. Hélas, comme d'habitude, on a voulu aller trop vite pour privilégier la rentabilité.
A réserver aux fans, donc.
mercredi 16 février 2011
Tron: Legacy
Tron, premier film en images de synthèses, a été mal aimé à sa sortie.
Une quinzaine d'années plus tard, avec l'émergence d'internet, le film est devenu culte. Un monde virtuel, un informaticien qui passe des heures derrière un ordi et finit par traverser le miroir, où il devient un héros. Bref, Tron est ZE film pour geeks!
29 ans après le premier opus, Disney se décide à lancer Tron: Legacy. La tâche était ardue. Il fallait faire venir ceux qui avaient vu le film en 1982, ceux qui l'on découvert en 1995, sans pour autant faire fuir les ados et pré-ados (premier public du cinéma US.) Un classement "R" (interdit aux mineurs non-accompagnés) ou un scénario trop complexe pour les chérubins (comme le 1) aurait été suicidaire.
La mise en scène est très belle, même si parfois la caméra tourne dans tous les sens. Au moins, pas d'arnaques sur ce qui est virtuel ou pas: dans Tron, il y a 100% d'effets spéciaux! Garrett Hedlund est un personnage calibré pour les teenagers, un rebel rebel quasiment asexué qui fait de la moto et du saut en parachute. Mouais. On retiendra surtout qu'il a deux expressions faciales. Personnage principal de Tron, Jeff Bridges a le droit à deux personnages dans la suite: un patriarche (sorte de Dude à la sauce zen) et son double virtuel. Bruce Boxleitner, également présent dans l'original, joue une espèce de régent de l'entreprise fondée par Bridges. Olivia Wilde et Beau Garrett ont chacune deux lignes de dialogue. Reste Michael Sheen, LA bonne surprise côté acteurs: il campe un albinos efféminé et fantasque. Hélas, il est pulvérisé.
Film pour ado oblige, le scénario est faiblard. On devine facilement ce qui va se passer, 5 minutes avant l'action. On devine également que Disney a ouvert la voix pour un "3".
Enfin, il y a le merchandising. Il est évident que les geeks vont se jeter sur les figurines et les jouets du film. Il y a aussi un jeu vidéo.
Mais il y a surtout un placement-produit honteux. Les Daft Punk font une apparition. Quant à Ducati, ils ont carrément droit à des gros plans sur les logos et à des citations. Gag N°1: la bécane du film n'est plus produite depuis peu. Gag N°2: Nokia, gros sponsor du film, est totalement invisible. Pas le moindre téléphone Finlandais à l'écran.
Une quinzaine d'années plus tard, avec l'émergence d'internet, le film est devenu culte. Un monde virtuel, un informaticien qui passe des heures derrière un ordi et finit par traverser le miroir, où il devient un héros. Bref, Tron est ZE film pour geeks!
29 ans après le premier opus, Disney se décide à lancer Tron: Legacy. La tâche était ardue. Il fallait faire venir ceux qui avaient vu le film en 1982, ceux qui l'on découvert en 1995, sans pour autant faire fuir les ados et pré-ados (premier public du cinéma US.) Un classement "R" (interdit aux mineurs non-accompagnés) ou un scénario trop complexe pour les chérubins (comme le 1) aurait été suicidaire.
La mise en scène est très belle, même si parfois la caméra tourne dans tous les sens. Au moins, pas d'arnaques sur ce qui est virtuel ou pas: dans Tron, il y a 100% d'effets spéciaux! Garrett Hedlund est un personnage calibré pour les teenagers, un rebel rebel quasiment asexué qui fait de la moto et du saut en parachute. Mouais. On retiendra surtout qu'il a deux expressions faciales. Personnage principal de Tron, Jeff Bridges a le droit à deux personnages dans la suite: un patriarche (sorte de Dude à la sauce zen) et son double virtuel. Bruce Boxleitner, également présent dans l'original, joue une espèce de régent de l'entreprise fondée par Bridges. Olivia Wilde et Beau Garrett ont chacune deux lignes de dialogue. Reste Michael Sheen, LA bonne surprise côté acteurs: il campe un albinos efféminé et fantasque. Hélas, il est pulvérisé.
Film pour ado oblige, le scénario est faiblard. On devine facilement ce qui va se passer, 5 minutes avant l'action. On devine également que Disney a ouvert la voix pour un "3".
Enfin, il y a le merchandising. Il est évident que les geeks vont se jeter sur les figurines et les jouets du film. Il y a aussi un jeu vidéo.
Mais il y a surtout un placement-produit honteux. Les Daft Punk font une apparition. Quant à Ducati, ils ont carrément droit à des gros plans sur les logos et à des citations. Gag N°1: la bécane du film n'est plus produite depuis peu. Gag N°2: Nokia, gros sponsor du film, est totalement invisible. Pas le moindre téléphone Finlandais à l'écran.
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