Le merchandising dans les dessins animés, ça a toujours existé. Blanche neige,
 le tout premier long-métrage d'animation avait donné lieu à une 
ribambelle de produits dérivés. Mais c'était de l'artisanat. Souvent, 
c'est lorsqu'un film arrivait à l'affiche qu'on se disait : "Et si on en
 profitait ?"
Depuis 2000, plus de place au hasard. Les produits
 dérivés accompagnent le film. On accuse même Disney de formater ses 
films de manière à pouvoir y placer le maximum de produit-dérivés 
potentiels.
Avec Cars, Disney et Pixar sont tombés sur une mine d'or ! Tout
 se vendait. En plus, ça plaisait aussi bien aux parents qu'aux enfants.
 Seul le jeu vidéo n'a pas marqué les esprits.
Pour Cars 2, ils ont pêché par excès de confiance.
D'où un recentrage avec un Cars 3
 censément moins infantile et moins commercial. Du coup, le jeu vidéo 
vise aussi un public plus âgé (la preuve, dans la bande-annonce, ils 
vouvoient le spectateur.)
J'ai surtout l'impression d'un simili Mariokart avec circuits délirants et bonus improbables...
            


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