Need for Speed (NFS, pour les intimes) a connu pas mal d'évolutions, depuis ses débuts. Le premier opus (25 ans déjà !) était un reskin de Test Drive : donc très axés conduite et GT Européennes. L'arrivée de Gran Turismo, en 1997, fut un pavé dans la mare. Electronic Arts répliqua en se gardant une exclusivité sur l'utilisation de Porsche, dans les jeux vidéos. Mais en 2003, il du se résoudre à changer d'épaule. Need for Speed: Underground marquait un nouveau tournant, désormais centré sur les courses urbaines et la personnalisation des véhicules. Il peut d'ailleurs se vanter d'avoir participé à la promotion des voitures Japonaises.
Désormais, avec Need for Speed: Payback, c'est l'inspiration des derniers Fast & Furious : casse et tuning extrême.
Payback propose des courses et des missions.
En fait, ce jeu n'a pas de gros défauts. Mais il n'a pas de grosses qualités non plus. Si je ne le chronique que maintenant, c'est parce qu'il n'apporte pas grand chose. The Crew fait mieux en matière de casses, sans parler de GTA. Dans un esprit très arcade, les voitures sont assez indestructibles.
Enfin, Electronic Arts oblige, le jeu est plein de micro-transactions et de "loot box". D'où la tentation de sortir sa carte de crédit pour avoir la meilleure voiture, tout de suite. Seule concession : le mode "solo" est off-line. Mais Payback fut un dommage collatéral de la polémique Star Wars et il connu une carrière discrète.
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