La génération suivante s'y connaissait davantage en jeux vidéo. Jacques Villeneuve s'est impliqué dans Speed Challenge : Jacques Villeneuve's Racing Vision. Ainsi, pour les remarques, Ubisoft put vous aiguiller vers le Canadien !
Jacques Villeneuve connu un début de carrière tonitruant : meilleur débutant de l'Indycar 1994, vainqueur des 500 Miles d'Indianapolis et champion d'Indycar 1995, vice-champion de F1 1996, champion de F1 1997... Ensuite, le compteur de victoires du Canadien resta bloqué.
Les fans étaient persuadés que "JV" avait le talent pour glaner un second titre. Hélas, pendant une décennie, le pilote se tira une rafale dans le pied.
Disons qu'en matière d'égo, de pragmatisme, de prise de recul et d’appât du gain, Jacques Villeneuve fut le Neil Breen de la F1.
Pour les jeux vidéo, par exemple, sa seigneurie ne donnait son imprimatur qu'après avoir été généreusement payé. Et encore. Ainsi, dans Grand Prix Manager, faute d'accord, il était "John Newhouse".
Jacques Villeneuve avait son opinion sur les circuits, les voitures, les pilotes, etc. Et surtout, il expliquait à qui voulait l'entendre ce que devait être la F1.
Ubisoft lui proposa carte blanche pour un jeu. Il pourrait y mettre toutes ses idées.
Voici donc le Speed Challenge, un championnat de 2027. Les voitures sont contrôlées à distance par les pilotes (mais elles ont un cockpit.)
Dans un aspect futuriste, les voitures roulent dans des circuits tracés en ville, dont New York, Rome et Paris. C'est à dire qu'en terme de forme générale de la voiture et de pays traversés, le jeu anticipe la FE de 2017 ! Il s'est simplement trompé de 10 ans...
A ceci près que les Speed Challenge ne sont pas électrique. Surtout, elles possèdent un système d'auto-réparation : en cas de choc, elles finissent par retrouver leur aspect initial.
Notez enfin que pour 2002, les graphismes 3D n'étaient pas mal.
Il n'y avait qu'un nombre limité de pistes. Du coup, en mode "saison", vous les faites de jour, de nuit, sous la pluie, etc. Sachant que chaque course dure 1h.
A l'arrivée, Speed Challenge: Jacques Villeneuve's Racing Vision n'est ni bon, ni mauvais. C'était juste un énième jeu de pseudos F1.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire