Suite de cette anthologie des jeux vidéos et de l'érotisme avec... La
princesse Peach! Elle n'est pas très sexy et c'est justement pour ça que
j'en parle.
Retour en 1983. Le marché US s'effondre comme un château de cartes. Le marché est saturé.
De
plus, les jeux vidéo sont montrés du doigt. On les accuse de faire
l'apologie de la violence et de la prise de risque. Les salles d'arcades
seraient des paravents pour le crime organisé. Les gamers auraient des
problèmes de vue et d'articulation et seraient prompt à des crises
d'épilepsies.
Lorsque Nintendo débarque aux Etats-Unis et en Europe, ils jouent
l'apaisement avec des jeux plus ou moins éducatifs. Sega et NEC lui
emboitent le pas.
Dans cet univers, pas de femmes sexy. Peach ou Zelda ont des robes amples, qui cachent leurs formes.
Accessoirement,
il y a une raison commerciale. Atari visait les ados. Or, ces derniers
se lassent vite des jeux. A contrario, un enfant de 10 ans, voir 8 ans,
va jouer des années avec sa console.
Peach est tout de même l'une des premières grandes héroïnes (avec Ms.
Pac Man.) Nintendo se dit qu'elle lui permet de toucher un public de
petites filles.
Dans Mario Bros 1, elle n'apparait qu'à la fin. Mais dans Mario Bros 2 (qui est en fait reskin d'un autre jeu), elle est un personnage jouable! Il faudra ensuite attendre Mariokart pour pouvoir rejouer avec.
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