Le premier GTA
 est un jeu finalement assez soft: vous volez des voitures, effectuez 
des missions et devez semer les policiers. Le seul facteur "gore" est le
 fait de pouvoir écraser les passants.
Avec GTA III,
 les concepteurs vont assez loin. "Puisque de toute façon, le jeu est 
interdit aux mineurs, pourquoi ne pas pousser l'immoralité jusqu'au 
bout ?"
Dans les années 90, un jeu comme GTA III aurait été banni
 des grandes surfaces. Sauf que la "franchise" est assez puissante pour 
être vendue partout malgré tout.
Dans GTA, pas de tabou, pas d'autocensure !
C'est ce côté "tout est permis" qui fait la légende du jeu.
Vous voulez des points de vies?
Il faut aller voir les prostituées ! Ah ça, ça change des champignons magiques !
Au début, la "passe" est représentée par une voiture qui sautille. Mais au fil des add-ons, tout est plus explicite.
Vous ne voulez pas payer à la fin? Vous n'avez qu'à tuer la prostituée et vous récupérerez ainsi votre argent !
Qu'est-ce qui pourrait être encore plus immoral ? Devenir maquereau ?
A partir de San Andreas, c'est possible ! Il vous suffit de remplir une "pimping mission" !
Eh, c'est un jeu interdit aux mineurs. Donc, en théorie, ils ne sont pas censés y jouer. En pratique...
            




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