Bruno Cremer, alias Jules Maigret, jouant au bandit manchot ! Maigret, c'est bien le dernier endroit où l'on s'attendrait à voir une référence aux jeux vidéo !
En fait, c'est même le dernier endroit où l'on s'attendrait à trouver quoi que ce soit d'excitant. Pensez, une série sponsorisée par une médicament pour soigner les troubles de la prostate...
Mais dans l'épisode Maigret et le Liberty bar, le commissaire pénètre dans un bar louche Marseillais. Un homme est mort avec des jetons de machine à sous. Maigret vérifie donc que les jetons correspondent à la dite-machine... Or, sur ce bandit-manchot, on peut lire "Sega Bell".
Ce n'est pas une homonymie. Sega a débuté dans la distribution de machines à sous pour les bases US du Pacifique. La Sega Bell était une Mills produite sous licence.
Il y a d'ailleurs un anachronisme : l'épisode est censé se passer en 1954. Or, Sega n'a obtenu la licence qu'en 1956. Et puis, un bar à la dérive n'aurait sûrement pas eu le dernier cri du bandit-manchot...
On revoit la machine un peu plus loin et on peut lire encore plus clairement la marque :
jeudi 22 août 2019
mercredi 21 août 2019
Emergency Call Ambulance (1999)
L'actu est calme ? Heureusement, il y a les bornes d'arcades de Sega ! C'est un matériau quasi-inépuisable...
Aujourd'hui, voici donc Emergency call ambulance. Comme son nom l'indique, il s'agit de conduire une ambulance pour répondre à des situations d'urgence. Pour info, la borne tourne sur le Sega Model 3 et c'est en fait un reskin de Daytona USA 2 !
La brochure destinée aux professionnels met en avant le réalisme du jeu...
Vous prenez le volant d'un Ford Econoline. La seule customisation possible, c'est le choix entre boite manuelle et automatique.
Par contre, vous pourrez ensuite choisir une vue de l'intérieur ou une vue depuis un tiers.
Puis c'est la première mission. Vous avez droit à une scène introductive, pour vous expliquer comment votre patient s'est fait bobo...
Un camion-citerne fou percute un break, où il y avait un enfant non-attaché à l'arrière. La voiture est catapultée en l'air, puis elle a pris feu.
Il faut m'expliquer comment une voiture effectue un vol-plané sans avoir de tremplin... Et accessoirement, entre le choc initial et l'impact lorsque la voiture a touché le sol, l'enfant est a priori garé...
Le deuxième patient, c'est un policier. Il vient de se faire tirer dessus au lance-roquette !
Le quatrième, c'est un chef d'état, sosie de Jimmy Carter. Son avion s'est écrasé dans un lac. Normalement, vu la décélération subie, il devrait être mort sur le coup, mais comme les autres, il n'a que des blessures superficielles !
Ensuite, c'est à vous de jouer.
En haut à gauche, c'est le compteur temps. En bas à gauche, ce second compteur affiche la distance à parcourir. Enfin, en haut, au milieu, c'est l'état de santé de votre passager. Tout accrochage aggravera son état.
Il faut donc atteindre l'hôpital dans les temps, mais conduire suffisamment prudemment pour que le patient soit hors de danger à l'arrivée.
Et bien sûr, le chemin jusqu'à l'hôpital n'est pas rectiligne...
En prime, c'est la ville-catastrophe ! Ici, une voiture explose peu avant votre passage !
Au final, j'ai de gros doutes, sur le fait que le jeu retranscrive bel et bien le quotidien d'un ambulancier...
A la fin, le chef d'état sus-cité vous remet une belle médaille.
Toutes les personnes que vous avez transporté sont présentes.
La troisième mission, c'était de transporter une femme enceinte. Depuis, elle a accouché de triplé. Visiblement, le père est enchanté...
Aujourd'hui, voici donc Emergency call ambulance. Comme son nom l'indique, il s'agit de conduire une ambulance pour répondre à des situations d'urgence. Pour info, la borne tourne sur le Sega Model 3 et c'est en fait un reskin de Daytona USA 2 !
La brochure destinée aux professionnels met en avant le réalisme du jeu...
Vous prenez le volant d'un Ford Econoline. La seule customisation possible, c'est le choix entre boite manuelle et automatique.
Par contre, vous pourrez ensuite choisir une vue de l'intérieur ou une vue depuis un tiers.
Puis c'est la première mission. Vous avez droit à une scène introductive, pour vous expliquer comment votre patient s'est fait bobo...
Un camion-citerne fou percute un break, où il y avait un enfant non-attaché à l'arrière. La voiture est catapultée en l'air, puis elle a pris feu.
Il faut m'expliquer comment une voiture effectue un vol-plané sans avoir de tremplin... Et accessoirement, entre le choc initial et l'impact lorsque la voiture a touché le sol, l'enfant est a priori garé...
Le deuxième patient, c'est un policier. Il vient de se faire tirer dessus au lance-roquette !
Le quatrième, c'est un chef d'état, sosie de Jimmy Carter. Son avion s'est écrasé dans un lac. Normalement, vu la décélération subie, il devrait être mort sur le coup, mais comme les autres, il n'a que des blessures superficielles !
Ensuite, c'est à vous de jouer.
En haut à gauche, c'est le compteur temps. En bas à gauche, ce second compteur affiche la distance à parcourir. Enfin, en haut, au milieu, c'est l'état de santé de votre passager. Tout accrochage aggravera son état.
Il faut donc atteindre l'hôpital dans les temps, mais conduire suffisamment prudemment pour que le patient soit hors de danger à l'arrivée.
Et bien sûr, le chemin jusqu'à l'hôpital n'est pas rectiligne...
En prime, c'est la ville-catastrophe ! Ici, une voiture explose peu avant votre passage !
Au final, j'ai de gros doutes, sur le fait que le jeu retranscrive bel et bien le quotidien d'un ambulancier...
A la fin, le chef d'état sus-cité vous remet une belle médaille.
Toutes les personnes que vous avez transporté sont présentes.
La troisième mission, c'était de transporter une femme enceinte. Depuis, elle a accouché de triplé. Visiblement, le père est enchanté...
samedi 17 août 2019
Traffic Racer (2013)
Aujourd'hui, je vais vous parler de Traffic Racer. C'était le premier jeu de SKgames. Soner Kara a lancé ce jeu pour portables en 2012.
Le principe est simple : vous roulez en ligne droite, sur une autoroute à quatre voies et vous doublez des véhicules plus lents. C'est assez monotone, à la longue.
Même la bande-annonce ne donne pas envie...
OK. Donc c'est un jeu pour portables comme il en existe des dizaines. Ni les graphiques, ni les bruitages ne sont exceptionnels. Alors pourquoi en parler ?
Parce que les voitures, elles, sont exceptionnelles ! On passe rapidement sur les Mitsubishi Evo, Nissan GT-R et autres Subaru WRX incontournables. Tout d'abord, il y a une Peugeot 106 S16 !
Une Tofas Dogan. Ce dérivé de Fiat 131 trahit la nationalité Turque du programmeur.
En version tuning, c'est encore mieux !
Plus surprenant : une Citroën DS ! C'est l'un des rares jeu où il existe une DS jouable.
Enfin, parmi les NPC, il y a un camion FAW. Ce n'est pas un simple sosie : SKgames en a reproduit le "1" ailé.
Depuis, SKgames a cloné Traffic Racer avec Traffic Rider et Wings of Fire. Tous ces jeux utilisent le même moteur Unity 3D.
Traffic Racer, lui, a droit à une mise à jour annuelle avec nouvelles voitures et nouveaux terrains.
Le principe est simple : vous roulez en ligne droite, sur une autoroute à quatre voies et vous doublez des véhicules plus lents. C'est assez monotone, à la longue.
Même la bande-annonce ne donne pas envie...
OK. Donc c'est un jeu pour portables comme il en existe des dizaines. Ni les graphiques, ni les bruitages ne sont exceptionnels. Alors pourquoi en parler ?
Parce que les voitures, elles, sont exceptionnelles ! On passe rapidement sur les Mitsubishi Evo, Nissan GT-R et autres Subaru WRX incontournables. Tout d'abord, il y a une Peugeot 106 S16 !
Une Tofas Dogan. Ce dérivé de Fiat 131 trahit la nationalité Turque du programmeur.
En version tuning, c'est encore mieux !
Plus surprenant : une Citroën DS ! C'est l'un des rares jeu où il existe une DS jouable.
Enfin, parmi les NPC, il y a un camion FAW. Ce n'est pas un simple sosie : SKgames en a reproduit le "1" ailé.
Depuis, SKgames a cloné Traffic Racer avec Traffic Rider et Wings of Fire. Tous ces jeux utilisent le même moteur Unity 3D.
Traffic Racer, lui, a droit à une mise à jour annuelle avec nouvelles voitures et nouveaux terrains.
lundi 12 août 2019
Portez les chaussures de Chun Li !
Capcom n'a jamais su dire non à l'argent facile. Et surtout pas avec Street Fighter. Une franchise aussi porteuse, ça serait dommage de ne pas l'exploiter jusqu'à la dernière goutte !
Dernier partenariat en date : la commercialisation des chaussures de Chun Li (et de son jogging), dans Street Fighter V : Arcade Edition. Des produits fabriqués par Onitsuka Tiger.
Onitsuka est la marque casual du Japonais Asics. En jouant sur le côté rétro-culture geek, elle cherche à exister face aux géants Nike et Adidas.
La série des Street Fighter fait parti des grands classiques du jeu vidéo. Et parmi les personnages, Chun Li est l'un des plus connus. Accessoirement, c'était l'un des très, très rares personnages féminins de cette époque. Enfin, Chun Li incarne une femme forte, voire féministe (les autres personnages féminins étant surtout des princesses qui se faisaient enlever ou tuer...) Bref, du tout-cuit pour cibler les geekettes.
Reste que la tenue de Chun Li, c'est un qipao bleue, avec des bottes blanches à lacets. C'est d'ailleurs ce qu'elle porte dans Street Fighter V : Arcade Edition.
Accessoirement, on imagine mal ce pur produit de la Chine communiste porter des baskets japonaises...
Après, Onitsuka a des arguments sonnants et trébuchants. Tant pis pour le canon et la logique, Chun Li se retrouve en tenue Onitsuka Tiger des pieds à la tête !
Pour info, les chaussures sont des Mexico 66 SD et il en existe une autre version, correspondant au Player 2. Seules 5 000 exemplaires ont été commercialisées.
En fait, le jogging n'est pas complètement apocryphe. Dans Street Fighter Alpha, Chun Li portait effectivement un unitard de cette couleur.
Sauf que le communiqué parle de Street Fighter V : Arcade Edition, pas de Street Fighter Alpha. D'ailleurs, le dernier épisode de cette sous-série de Street Fighter remonte à 2006. A croire que Capcom ne s'en souvenait même plus...
Dernier partenariat en date : la commercialisation des chaussures de Chun Li (et de son jogging), dans Street Fighter V : Arcade Edition. Des produits fabriqués par Onitsuka Tiger.
Onitsuka est la marque casual du Japonais Asics. En jouant sur le côté rétro-culture geek, elle cherche à exister face aux géants Nike et Adidas.
La série des Street Fighter fait parti des grands classiques du jeu vidéo. Et parmi les personnages, Chun Li est l'un des plus connus. Accessoirement, c'était l'un des très, très rares personnages féminins de cette époque. Enfin, Chun Li incarne une femme forte, voire féministe (les autres personnages féminins étant surtout des princesses qui se faisaient enlever ou tuer...) Bref, du tout-cuit pour cibler les geekettes.
Reste que la tenue de Chun Li, c'est un qipao bleue, avec des bottes blanches à lacets. C'est d'ailleurs ce qu'elle porte dans Street Fighter V : Arcade Edition.
Accessoirement, on imagine mal ce pur produit de la Chine communiste porter des baskets japonaises...
Après, Onitsuka a des arguments sonnants et trébuchants. Tant pis pour le canon et la logique, Chun Li se retrouve en tenue Onitsuka Tiger des pieds à la tête !
Pour info, les chaussures sont des Mexico 66 SD et il en existe une autre version, correspondant au Player 2. Seules 5 000 exemplaires ont été commercialisées.
En fait, le jogging n'est pas complètement apocryphe. Dans Street Fighter Alpha, Chun Li portait effectivement un unitard de cette couleur.
Sauf que le communiqué parle de Street Fighter V : Arcade Edition, pas de Street Fighter Alpha. D'ailleurs, le dernier épisode de cette sous-série de Street Fighter remonte à 2006. A croire que Capcom ne s'en souvenait même plus...
lundi 5 août 2019
Un Ford Transit dans Forza Horizon 4 !
Forza Horizon 4, ce n'est pas que des hypercars ! Parmi la tripotée de véhicules, il y a notamment une 2cv, un taxi Londonien, des tracteurs agricoles, une moissonneuse-batteuse, une golfette... Et un Ford Transit Mk1 Custom de 1965 !
En fait, le Transit était dans la DLC du Car Pass de février dernier (avec une Mustang Fastback de 1967.)
Néanmoins, Ford n'en a parlé que ces jours-ci, profitant d'une actualité plutôt calme.
Pour les voitures modernes, les constructeurs disposent des fichiers 3D et de photos HD, qu'ils envoient directement aux éditeurs de jeux. Mais pour le Transit, Ford a du sortir le van ci-dessous de son musée et le prendre en photo sous toutes les coutures. Puis ils ont expédié les clichés à Microsoft, pour qu'il crée un Transit en 3D avec.
A l'époque, il existait un Transit V6. Mais non, ils ont choisi celui avec le 1,7l "Essex" 73ch. En ligne droite, il atteint péniblement les 80 et en cote, avec sa boite 3 vitesses, la vitesse maxi est de 50 ! En descente, par contre, vous prenez 110. J'ai cru que c'était des MPH (vu que c'est une version anglaise, à conduite à droite), mais non, ce sont des km/h !
Notez aussi que le Transit sautille sur la moindre anfractuosité. Au moins, il permet de couper à travers champ.
En tout cas, il impose une conduite très pépère.
Les critiques ont assassiné le Transit. Ils sont davantage habitués aux hypercars... Notez que l'on peut transformer le véhicule et y monter un V8 dessus !
En fait, le Transit était dans la DLC du Car Pass de février dernier (avec une Mustang Fastback de 1967.)
Néanmoins, Ford n'en a parlé que ces jours-ci, profitant d'une actualité plutôt calme.
Pour les voitures modernes, les constructeurs disposent des fichiers 3D et de photos HD, qu'ils envoient directement aux éditeurs de jeux. Mais pour le Transit, Ford a du sortir le van ci-dessous de son musée et le prendre en photo sous toutes les coutures. Puis ils ont expédié les clichés à Microsoft, pour qu'il crée un Transit en 3D avec.
A l'époque, il existait un Transit V6. Mais non, ils ont choisi celui avec le 1,7l "Essex" 73ch. En ligne droite, il atteint péniblement les 80 et en cote, avec sa boite 3 vitesses, la vitesse maxi est de 50 ! En descente, par contre, vous prenez 110. J'ai cru que c'était des MPH (vu que c'est une version anglaise, à conduite à droite), mais non, ce sont des km/h !
Notez aussi que le Transit sautille sur la moindre anfractuosité. Au moins, il permet de couper à travers champ.
En tout cas, il impose une conduite très pépère.
Les critiques ont assassiné le Transit. Ils sont davantage habitués aux hypercars... Notez que l'on peut transformer le véhicule et y monter un V8 dessus !
dimanche 4 août 2019
Corona MotorSport (2015)
Avec les jeux ratés, c'est toujours l'hilarité ! Pour 9,99€, sur Steam, vous pouvez devenir l'heureux acquéreur de Corona MotorSport. C'est un clone de Forza Horizon. Mais c'en est tellement mauvais que l'on est vite plié en deux...
Lorsqu'il était à l'université, Luke Japaridze avait un rêve. Créer : "The next generation of indie racing game" (NDLA : c'est lui qui le dit.)
Quatre ans plus tard, Lucas Games voyait le jour et son premier bébé était Corona MotorSport.
Déjà, dans la bande-annonce, les voitures sont en lévitation, c'est un mauvais présage...
Ensuite, bien sûr, pas de Lamborghini ou de Ferrari. Lucas Games n'aurait pas eu les moyens de prendre une licence officielle. Place donc à la "Serato Uragano" ou à la "Vortex VX Storm"... Et puis il y a cette étonnante Cobra Daytona équipés d'ailerons évoquant les GT des années 90...
Le rendu n'est pas terrible, toutes les voitures font un bruit générique (et pas du tout réaliste), le gameplay est nul, etc. Accessoirement, il n'y a que deux circuits et une douzaine de voitures.
Néanmoins, ce qui fait le sel de Corona Motorsport, ce sont les bugs. Vous roulez avec avec Serato Conquistador et d'un seul coup, elle part en vrille et la caméra décide de faire une photo d'art et d'essai :
Il y a aussi les voitures volantes ou qui passent à travers la piste, un grand classique du jeu indé :
Luke Japaridze n'est pas resté les bras croisé. Depuis 2015, il a fait 77 (!) mises à jour. Il a même supprimé les voitures et les circuits trop vérolés.
Mais il faut croire que pour chaque bug qu'il fixe, il y en a 10 qui apparaissent...
On finit par avoir de la compassion pour ce créateur avec son espèce de rocher de Sisyphe. Et si ce n'était que des bugs durant la course... Corona MotorSport, c'est aussi des menus qui ne marchent pas. Vous changez de voitures, vous changez la couleur, mais vous conservez votre voiture initiale. Et régulièrement, le retour sauvage à l'écran-titre, sans sauvegarde, cela va de soi...
Lorsqu'il était à l'université, Luke Japaridze avait un rêve. Créer : "The next generation of indie racing game" (NDLA : c'est lui qui le dit.)
Quatre ans plus tard, Lucas Games voyait le jour et son premier bébé était Corona MotorSport.
Déjà, dans la bande-annonce, les voitures sont en lévitation, c'est un mauvais présage...
Ensuite, bien sûr, pas de Lamborghini ou de Ferrari. Lucas Games n'aurait pas eu les moyens de prendre une licence officielle. Place donc à la "Serato Uragano" ou à la "Vortex VX Storm"... Et puis il y a cette étonnante Cobra Daytona équipés d'ailerons évoquant les GT des années 90...
Le rendu n'est pas terrible, toutes les voitures font un bruit générique (et pas du tout réaliste), le gameplay est nul, etc. Accessoirement, il n'y a que deux circuits et une douzaine de voitures.
Néanmoins, ce qui fait le sel de Corona Motorsport, ce sont les bugs. Vous roulez avec avec Serato Conquistador et d'un seul coup, elle part en vrille et la caméra décide de faire une photo d'art et d'essai :
Il y a aussi les voitures volantes ou qui passent à travers la piste, un grand classique du jeu indé :
Luke Japaridze n'est pas resté les bras croisé. Depuis 2015, il a fait 77 (!) mises à jour. Il a même supprimé les voitures et les circuits trop vérolés.
Mais il faut croire que pour chaque bug qu'il fixe, il y en a 10 qui apparaissent...
On finit par avoir de la compassion pour ce créateur avec son espèce de rocher de Sisyphe. Et si ce n'était que des bugs durant la course... Corona MotorSport, c'est aussi des menus qui ne marchent pas. Vous changez de voitures, vous changez la couleur, mais vous conservez votre voiture initiale. Et régulièrement, le retour sauvage à l'écran-titre, sans sauvegarde, cela va de soi...
jeudi 1 août 2019
La Pagani Huayra Roadster BC en exclusivité dans CSR 2
Aujourd'hui, chaque jeu se doit d'avoir un modèle inédit, pas encore lancé en production (et indisponible sur les autres jeux.) C'est désormais également vrai pour les jeux sur mobiles !
CSR 2 de Zynga va ainsi disposer de la Pagani Huayra Roadster BC, qui vient d'être dévoilée.
CSR fut lancé en 2012 par NaturalMotion. NaturalMotion est un éditeur de jeux pour portables, basé en Grande-Bretagne. Comme tous les éditeurs pour portables, il édite des jeux à la chaine.
CSR ou CSR Racing est un jeu classique. Vous débutez avec une voiture. Le fait de gagner des courses vous donne des dollars, ce qui vous permet d'acheter des équipements (comme des kits nitro), ce qui vous permet de gagner des courses plus difficiles et de débloquer des voitures plus grosses, etc. Bien sûr, utiliser la voie traditionnelle prend du temps et vous pouvez sortir la carte bleue pour vous acheter d'emblée bonus et voitures... C'est le fameux concept du "pay to win".
L'originalité, c'est que CSR propose des courses en ligne droite, de type dragster. Ce qui compte, ce n'est pas la trajectoire ou les distances de freinages, mais le passage de vitesses ou le déclenchement de kits nitro.
Zynga est un éditeur Américain, qui a débuté en 2007 avec Zynga Poker. Ils ont eu du flair en rachetant peu après MyMiniLife, qui venait de créer Farmville. Farmville fut un carton du casual gaming. Zynga racheta alors plein d'éditeurs, dont Newtoy et son Words with friends. Et en 2014, il s'offrit NaturalMotion.
CSR2, lancé en 2016, fut donc raccroché à Zynga. Depuis cette date, l'éditeur propose nombre de DLC, avec de nouvelles voitures.
Pagani a longtemps donné une exclusivité à Electronic Arts et à ses Need for Speed. Aujourd'hui, l'artisan Italien n'a plus d'exclusivité, d'où une DLC Pagani pour CSR2.
En ce 1er août, vous pouvez ainsi acheter des Zonda et Huayra. Des versions plus évoluées, elles, ne sont déblocables qu'à un certain niveau. Pour atteindre l'Huayra Roadster BC, il faut disputer le parcours "Time Attack" et remporter toutes les courses jusqu'à la 69e ! Sachant que ce parcours compte 80 épreuves...
Sinon, vous pouvez faire un chèque de 3 085 000€ et vous offrir une vraie Huayra Roadster BC !
CSR 2 de Zynga va ainsi disposer de la Pagani Huayra Roadster BC, qui vient d'être dévoilée.
CSR fut lancé en 2012 par NaturalMotion. NaturalMotion est un éditeur de jeux pour portables, basé en Grande-Bretagne. Comme tous les éditeurs pour portables, il édite des jeux à la chaine.
CSR ou CSR Racing est un jeu classique. Vous débutez avec une voiture. Le fait de gagner des courses vous donne des dollars, ce qui vous permet d'acheter des équipements (comme des kits nitro), ce qui vous permet de gagner des courses plus difficiles et de débloquer des voitures plus grosses, etc. Bien sûr, utiliser la voie traditionnelle prend du temps et vous pouvez sortir la carte bleue pour vous acheter d'emblée bonus et voitures... C'est le fameux concept du "pay to win".
L'originalité, c'est que CSR propose des courses en ligne droite, de type dragster. Ce qui compte, ce n'est pas la trajectoire ou les distances de freinages, mais le passage de vitesses ou le déclenchement de kits nitro.
Zynga est un éditeur Américain, qui a débuté en 2007 avec Zynga Poker. Ils ont eu du flair en rachetant peu après MyMiniLife, qui venait de créer Farmville. Farmville fut un carton du casual gaming. Zynga racheta alors plein d'éditeurs, dont Newtoy et son Words with friends. Et en 2014, il s'offrit NaturalMotion.
CSR2, lancé en 2016, fut donc raccroché à Zynga. Depuis cette date, l'éditeur propose nombre de DLC, avec de nouvelles voitures.
Pagani a longtemps donné une exclusivité à Electronic Arts et à ses Need for Speed. Aujourd'hui, l'artisan Italien n'a plus d'exclusivité, d'où une DLC Pagani pour CSR2.
En ce 1er août, vous pouvez ainsi acheter des Zonda et Huayra. Des versions plus évoluées, elles, ne sont déblocables qu'à un certain niveau. Pour atteindre l'Huayra Roadster BC, il faut disputer le parcours "Time Attack" et remporter toutes les courses jusqu'à la 69e ! Sachant que ce parcours compte 80 épreuves...
Sinon, vous pouvez faire un chèque de 3 085 000€ et vous offrir une vraie Huayra Roadster BC !
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