Suite et fin de cette mini-saga sur les 1000 Miles avec Great 1000 Miles Rally 2. Le "2" est beaucoup plus diffusé que Great 1000 Mile Rally [1]. Du coup, au début de mes recherches, j'avais cru que Kaneko avait directement lancé un "2" !
Un an seulement après le premier opus, Kaneko revient à la charge. L'éditeur n'a jamais été à cheval sur le copyright ou la véracité historique. D'où ce logo "1000 Miglia" et cette Ferrari 250 GTO mise en avant alors qu'elle est apparue APRES l'arrêt des 1000 Miles ! Pour mieux "vendre" le jeu, la borne d'arcade est illustrée par le concept-car Chrysler 300 (1991) et une Lamborghini Countach qui n'avaient rien à voir avec le jeu...
Le principe reste le même : vous devez parcourir un secteur sinueux. Le gagnant n'est pas forcément le 1er ; ce qui compte, c'est de boucler le parcours en moins d'une minute.
En un an, les graphismes ont nettement progressé. Le jeu conserve sa vue d'oiseau, mais on est plus près de la route. Inconvénient : on peut moins bien anticiper le parcours.
Pour compenser, il y a un copilote qui annonce les virages (façon Sega Rally.) Sauf que 1) il crie dans son micro de mauvaise qualité. 2) il décrit ce qu'il se passe et non pas ce qu'il va passer !
Après ça, Kaneko a eu des difficultés et l'éditeur a fermé ses portes en 2000. Le fondateur jure depuis qu'il va revenir...
mardi 30 janvier 2018
lundi 29 janvier 2018
Mille Miglia: Great 1000 Mile Rally (1994)
On poursuit cette drôle de sage de jeux sur les 1000 Miles, avec Mille Miglia : Great 1000 Mile Rally. Cette fois-ci, on est sur bornes d'arcade, au milieu des années 90, avec un jeu développé par Kaneko. Ce qui nous fait trois jeux, de trois développeur, en dix ans, sur un même thème. Pourquoi les 1000 Miles ? Pourquoi pas la Targa Florio, la Carrera Panamericana ou d'autres courses mythiques sans ayant-droits ? Y a-t-il malgré tout un lien entre les trois jeux ?
Kaneko est un développeur Japonais. Fondé en 1980, il a d'abord travaillé comme sous-traitant de Taito. Au début des années 90, il a voulu voler de ses propres ailes. Son premier hit en solo fut Gals panic.
En 1994, Kaneko a peut être senti que les puzzle fripons étaient un filon en voie d'épuisement. Il a cherché à créer un jeu de voitures. Tant qu'à faire, il a cloné World Rally Championship. Néanmoins, il en a fait un reskin rétro. S'est-il inspiré de 1000 Miglia ?
Notez que pour éviter les droits d'auteur, le jeu s'appelle 1000 Mile (sans "s".)
Ce n'était pas la véracité historique qui étouffait Kaneko... On voit ici la Ferrari 250 GTO du joueur (apparue en 1962, alors qu'en comptant large les dernières 1000 Miles ont eu lieu en 1961), dépassant une Mercedes SSKL du début des années 30...
Le jeu consiste en une série de spéciales, sur un circuit fermé très sinueux. Le principe a-t-il inspiré 1000 Miglia ? En prime, il y a des tremplins et des dos d'ânes ! Comme dans World Rally Championship, ont a une vue d'oiseau pas terrible. Par contre, rien à redire sur les graphismes, très bons pour l'époque.
Kaneko est un développeur Japonais. Fondé en 1980, il a d'abord travaillé comme sous-traitant de Taito. Au début des années 90, il a voulu voler de ses propres ailes. Son premier hit en solo fut Gals panic.
En 1994, Kaneko a peut être senti que les puzzle fripons étaient un filon en voie d'épuisement. Il a cherché à créer un jeu de voitures. Tant qu'à faire, il a cloné World Rally Championship. Néanmoins, il en a fait un reskin rétro. S'est-il inspiré de 1000 Miglia ?
Notez que pour éviter les droits d'auteur, le jeu s'appelle 1000 Mile (sans "s".)
Ce n'était pas la véracité historique qui étouffait Kaneko... On voit ici la Ferrari 250 GTO du joueur (apparue en 1962, alors qu'en comptant large les dernières 1000 Miles ont eu lieu en 1961), dépassant une Mercedes SSKL du début des années 30...
Le jeu consiste en une série de spéciales, sur un circuit fermé très sinueux. Le principe a-t-il inspiré 1000 Miglia ? En prime, il y a des tremplins et des dos d'ânes ! Comme dans World Rally Championship, ont a une vue d'oiseau pas terrible. Par contre, rien à redire sur les graphismes, très bons pour l'époque.
dimanche 28 janvier 2018
Mille Miglia (2000)
9 ans après 1000 Miglia, voici un autre jeu sur la même course. A priori, les deux titres n'ont aucun lien. Pourtant, Mille Miglia offre la possibilité de jouer sur plusieurs époques. Ce qui ressemble à ce que 1000 Miglia aurait donné, si les projets de suite avait abouti.
Le jeu possède un mode "arcade", qui permet de débuter à n'importe quel point (mais bien sûr, il faut débloquer les derniers parcours) et un mode "championnat", avec classement.
En tant que simulation auto, il offre des paysages variés. Grâce aux capacités de calcul de la PS1, il y a des cotes, des descentes, des épingles...
Par contre, pour celui qui voulait un voyage dans le temps, c'est râpé. Il n'y a pas de différence de terrain entre les années 20 et les années 50. Vous êtes à chaque fois sur de larges routes asphaltées, bordées de rails. Il n'y a pas de jauge de dommage et accessoirement, impossible d'envoyer vos adversaires dans le décor.
A l'époque, les courses se déroulaient sur de longues lignes droites. Les freins étant très mauvais, on évitait les secteurs trop sinueux. Un jeu avec de très longues lignes droites, ça n'aurait pas été très jouable. D'où le choix de faire des circuits fermés, avec plein de virages. Là, ça peut se comprendre.
L'autre intérêt, c'est de jouer avec des anciennes. A commencer par la Mercedes 300 SLR de Stirling Moss (qui parrainait le jeu.)
Les jeux dédiés étant très rares en 2000. En plus, Mille Miglia disposait de nombreuses licences... Mais le rendu est déplorable. Parfois, il faut se fier au nom pour identifier un véhicule ! Et elles font toutes le même bruit...
Le jeu possède un mode "arcade", qui permet de débuter à n'importe quel point (mais bien sûr, il faut débloquer les derniers parcours) et un mode "championnat", avec classement.
En tant que simulation auto, il offre des paysages variés. Grâce aux capacités de calcul de la PS1, il y a des cotes, des descentes, des épingles...
Par contre, pour celui qui voulait un voyage dans le temps, c'est râpé. Il n'y a pas de différence de terrain entre les années 20 et les années 50. Vous êtes à chaque fois sur de larges routes asphaltées, bordées de rails. Il n'y a pas de jauge de dommage et accessoirement, impossible d'envoyer vos adversaires dans le décor.
A l'époque, les courses se déroulaient sur de longues lignes droites. Les freins étant très mauvais, on évitait les secteurs trop sinueux. Un jeu avec de très longues lignes droites, ça n'aurait pas été très jouable. D'où le choix de faire des circuits fermés, avec plein de virages. Là, ça peut se comprendre.
L'autre intérêt, c'est de jouer avec des anciennes. A commencer par la Mercedes 300 SLR de Stirling Moss (qui parrainait le jeu.)
Les jeux dédiés étant très rares en 2000. En plus, Mille Miglia disposait de nombreuses licences... Mais le rendu est déplorable. Parfois, il faut se fier au nom pour identifier un véhicule ! Et elles font toutes le même bruit...
jeudi 25 janvier 2018
Motocross Maniacs (1989)
La Game Boy est sortie avec une ludothèque très limitée, d'une vingtaine de jeux la première année. A mon avis, Nintendo était parti sur une clientèle de joueurs très casual. Mais la base fut beaucoup plus large et il y avait de vrais gamers dans le lot. Petit à petit, des titres sont apparus, à coup de portages de la NES et plus rarement, comme ici, de jeux inédits. C'est le cas de Motocross Maniacs.
Motocross Maniacs est un jeu simplissime. Vous devez affronter des obstacles (tremplin, looping) en un temps limité. Vous avez des bonus (dont la nitro) et des crasses, comme ces mini-motos qui vous font tomber. La moto -vue de profil- est très schématisée. Néanmoins, le jeu était addictif, avec une difficulté qui allait crescendo.
Bref, un bon petit jeu, qui tirait parti des possibilités de la Game Boy.
Motocross Maniacs est un jeu simplissime. Vous devez affronter des obstacles (tremplin, looping) en un temps limité. Vous avez des bonus (dont la nitro) et des crasses, comme ces mini-motos qui vous font tomber. La moto -vue de profil- est très schématisée. Néanmoins, le jeu était addictif, avec une difficulté qui allait crescendo.
Bref, un bon petit jeu, qui tirait parti des possibilités de la Game Boy.
vendredi 19 janvier 2018
Forza Motorsport 7 Totino's Car Pack
Microsoft vient de dévoiler un nouveau pack pour Forza Motorsport 7. C'est le Totino's Car Pack (d'après une marque US de snacks.)
Parmi elles, il y a une 2cv ! Elle n'est pas hyper bien rendue et je ne vois pas trop l'intérêt pour un jeu centré sur la course... En tout cas, l'idée est originale !
Très originale, aussi, la Subaru 360. Une toute petite voiture à l’apparence rigolote. Pour l'avoir conduite, je peux vous jurer qu'elle est très loin du monstre décrit dans la présentation !
A part ça, il y a la Hyundai Veloster N, la BMW M6 IMSA du team RLL, la Nissan R380 II, la Volkswagen Type 3... Et la Lotus Elise GT1. Quand je jouais à Need for Speed II, je la prenais à chaque fois...
Parmi elles, il y a une 2cv ! Elle n'est pas hyper bien rendue et je ne vois pas trop l'intérêt pour un jeu centré sur la course... En tout cas, l'idée est originale !
Très originale, aussi, la Subaru 360. Une toute petite voiture à l’apparence rigolote. Pour l'avoir conduite, je peux vous jurer qu'elle est très loin du monstre décrit dans la présentation !
A part ça, il y a la Hyundai Veloster N, la BMW M6 IMSA du team RLL, la Nissan R380 II, la Volkswagen Type 3... Et la Lotus Elise GT1. Quand je jouais à Need for Speed II, je la prenais à chaque fois...
lundi 15 janvier 2018
Dakar 18 (2018)
J'ai été mauvaise langue sur le jeu Dakar 18. ASO, l'organisateur du Dakar et Deep Silver ont enfin dévoilé une première bande annonce. Il sortira en juin, soit 6 mois après la course. On sait simplement que l'on pourra rouler en voiture, à moto, en quad ou en camion et qu'à priori, tous les concurrents du Dakar seront présents.
Est-ce qu'il y aura un mode arcade ou bien faudra-t-il affronter des centaines de kilomètres de spécial ?
En tout cas, espérons qu'en 2019, ils seront un peu plus raccord.
Est-ce qu'il y aura un mode arcade ou bien faudra-t-il affronter des centaines de kilomètres de spécial ?
En tout cas, espérons qu'en 2019, ils seront un peu plus raccord.
samedi 13 janvier 2018
Sinclair ZX80
Le Sinclair ZX80 est l'ancêtre des gaming PC !
Jusque dans les années 70, les ordinateurs étaient des machines immenses. On pensait que les ordinateurs ne pouvaient servir qu'à des applications lourdes (militaire, spatial, nucléaire...) Puis il y eu une demande pour un ordinateur simple, compact et pas cher. La clientèle serait cette fois des entreprises plus modestes, voire des particuliers. Olivetti et IBM furent les rares à effectuer d'emblée cette migration. De quoi ouvrir un espace pour des "petits" plus ou moins opportunistes. On pense bien sûr à Apple. Mais il y avait également Clive Sinclair. En 1980, Sinclair dévoila ainsi le ZX80. L'année suivante, il lança une version plus abouti, le ZX81. Puis le ZX Spectrum.
Néanmoins, Sinclair n'était qu'une PME. Son QL, jugé comme un mauvais clone de Mac, fut un bide et Sinclair du rétropédaler avec le ZX Spectrum+. Les performances des machines croissaient de manière exponentielle et il fallait lancer une nouvelle machine par an. De plus, la distribution était problématique. Le réseau était constitué de petits "vendeurs d'informatique". Clive Sinclair fut l'un des premiers à démarcher la grande distribution. De quoi normaliser la vente d'ordinateurs. Mais les vendeurs étaient carrément perdus. Il faut bien comprendre qu'à l'époque, tout le monde débutait ! En 1985, Sinclair vendit ses ordinateurs à Amstrad, qui poursuivit deux ans.
Jusque dans les années 70, les ordinateurs étaient des machines immenses. On pensait que les ordinateurs ne pouvaient servir qu'à des applications lourdes (militaire, spatial, nucléaire...) Puis il y eu une demande pour un ordinateur simple, compact et pas cher. La clientèle serait cette fois des entreprises plus modestes, voire des particuliers. Olivetti et IBM furent les rares à effectuer d'emblée cette migration. De quoi ouvrir un espace pour des "petits" plus ou moins opportunistes. On pense bien sûr à Apple. Mais il y avait également Clive Sinclair. En 1980, Sinclair dévoila ainsi le ZX80. L'année suivante, il lança une version plus abouti, le ZX81. Puis le ZX Spectrum.
Néanmoins, Sinclair n'était qu'une PME. Son QL, jugé comme un mauvais clone de Mac, fut un bide et Sinclair du rétropédaler avec le ZX Spectrum+. Les performances des machines croissaient de manière exponentielle et il fallait lancer une nouvelle machine par an. De plus, la distribution était problématique. Le réseau était constitué de petits "vendeurs d'informatique". Clive Sinclair fut l'un des premiers à démarcher la grande distribution. De quoi normaliser la vente d'ordinateurs. Mais les vendeurs étaient carrément perdus. Il faut bien comprendre qu'à l'époque, tout le monde débutait ! En 1985, Sinclair vendit ses ordinateurs à Amstrad, qui poursuivit deux ans.
mercredi 10 janvier 2018
F-Zero (1992)
En 1992, la Super NES déboulait en Europe. La Mega-Drive, qui était jusqu'ici la référence des consoles grand public (NDLA : la NEC et la Neo-Geo coutaient un bras), prend un coup de vieux.
L'un des fers de lance, c'était F-Zero.
Le manuel évoque une histoire de bon en 2560. La Terre commerce avec d'autres planètes et les extra-terrestres sont parmi nous. Des multi-milliardaires s'ennuient. Alors ils créent des compétitions. F-Zero est ainsi un jeu de courses de véhicule futuristes. Ce qui était relativement neuf, c'était de rouler sur un circuit fermé et même d'avoir une saison avec plusieurs circuits au programme.
Nintendo se vantait d'être la console des familles. Or, F-Zero ne proposait pas de mode multijoueur. C'était le gros défaut. Et pour le fan de voitures, comme moi, on voyait surtout que ce n'était pas une voiture à proprement parler...
3 ans plus tard, Sony reprendra le concept de la course futuriste avec WipeOut. Et là, c'est F-Zero qui prenait un coup de vieux...
L'un des fers de lance, c'était F-Zero.
Le manuel évoque une histoire de bon en 2560. La Terre commerce avec d'autres planètes et les extra-terrestres sont parmi nous. Des multi-milliardaires s'ennuient. Alors ils créent des compétitions. F-Zero est ainsi un jeu de courses de véhicule futuristes. Ce qui était relativement neuf, c'était de rouler sur un circuit fermé et même d'avoir une saison avec plusieurs circuits au programme.
Nintendo se vantait d'être la console des familles. Or, F-Zero ne proposait pas de mode multijoueur. C'était le gros défaut. Et pour le fan de voitures, comme moi, on voyait surtout que ce n'était pas une voiture à proprement parler...
3 ans plus tard, Sony reprendra le concept de la course futuriste avec WipeOut. Et là, c'est F-Zero qui prenait un coup de vieux...
lundi 8 janvier 2018
Dakar Game [2018] (2017)
Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas eu beaucoup de jeu sur le thème du Dakar. Ou du rallye-raid en général. Il n'y a même pas de 4x4 de course dans les jeux.
Pour remédier à cela, Bigmoon Studio et ASO (l'organisateur du Dakar) se sont associé pour concevoir un jeu, Dakar 2018, avec des suites pour les éditions 2019 et 2020.
Visiblement, Bigmoon Studio a pris du retard. Il promet un jeu disponible sur PC, PS4 et Xbox One.
Le Dakar est entamé et pour l'instant, seul la version portable (signée Plop! Studio) est disponible.
On a droit à un jeu assez bon enfant avec des courses dans le désert. L'intérêt étant de jouer avec les véhicules officiels. Mais pour le réalisme, il faudra repasser. Les voitures donnent l'impression de glisser sur une piste plate...
Pour remédier à cela, Bigmoon Studio et ASO (l'organisateur du Dakar) se sont associé pour concevoir un jeu, Dakar 2018, avec des suites pour les éditions 2019 et 2020.
Visiblement, Bigmoon Studio a pris du retard. Il promet un jeu disponible sur PC, PS4 et Xbox One.
Le Dakar est entamé et pour l'instant, seul la version portable (signée Plop! Studio) est disponible.
On a droit à un jeu assez bon enfant avec des courses dans le désert. L'intérêt étant de jouer avec les véhicules officiels. Mais pour le réalisme, il faudra repasser. Les voitures donnent l'impression de glisser sur une piste plate...
dimanche 7 janvier 2018
Street Racer (1994)
Après Super Mario Kart, voici l'un de ses tout premier clone : Street Racer... Du moins, Ubisoft prétendait que c'était un mix de Mario Kart avec Street Fighter 2 ! D'où le simili-E. Honda sur la boite.
Il est d'abord sorti sur Super NES.
Dans Street Racer, point de bonus, mais vous pouvez donner des coups de poing à un concurrent. Chaque personnage possède un coup spécial. Généralement, il envoi tous les karts à proximité dans le décor. Seuls le fakir et le simili-Baron Rouge avaient quelque chose de différent : ils volaient quelques secondes.
De plus, les graphismes étaient plus fouillés. Du coup, le mode solo était meilleur que Mario Kart.
Street Racer connu un succès certain. Ubisoft n'hésita pas à le porter tout azimut, vers 1995-1996. Comme Mario Kart n'existait que pour Super NES, il avait donc un monopole pour les autres consoles... Mais bien sûr, ça ne dura pas. Monster Racer, Crash Team Racing, Toy Story Racer, Smurf Racer... Bientôt, les consoles (en particulier la PS1) furent envahies de clones de Mario Kart, souvent bâclés. Et le jeu de karting de devenir un sous-genre à part entière...
Il est d'abord sorti sur Super NES.
Dans Street Racer, point de bonus, mais vous pouvez donner des coups de poing à un concurrent. Chaque personnage possède un coup spécial. Généralement, il envoi tous les karts à proximité dans le décor. Seuls le fakir et le simili-Baron Rouge avaient quelque chose de différent : ils volaient quelques secondes.
De plus, les graphismes étaient plus fouillés. Du coup, le mode solo était meilleur que Mario Kart.
Street Racer connu un succès certain. Ubisoft n'hésita pas à le porter tout azimut, vers 1995-1996. Comme Mario Kart n'existait que pour Super NES, il avait donc un monopole pour les autres consoles... Mais bien sûr, ça ne dura pas. Monster Racer, Crash Team Racing, Toy Story Racer, Smurf Racer... Bientôt, les consoles (en particulier la PS1) furent envahies de clones de Mario Kart, souvent bâclés. Et le jeu de karting de devenir un sous-genre à part entière...
samedi 6 janvier 2018
Super Mario Kart (1992)
La référence ! Super Mario Kart est un jeu souvent copié, mais jamais égalé ! A l'origine, l'équipe de Shigeru Miyamoto voulait un F-Zero en multi-joueur, avec les personnages (et les décors) de Mario. Seulement, la puissance de la Super NES ne permettait pas de faire tout cela (alors qu'en 1992, c'était le top du top de la console de jeu.) Entre décors et mode multi-joueur, il a fallu trancher. Ce fut donc un jeu multi-joueur et les décors furent avant tout des évocations de Super Marioworld.
A l'arrivée, c'était une idée géniale. Nintendo avait trouvé une formule qui correspondait bien à son public de gamers, plus jeune ou moins doués que la moyenne. Avec Mario Kart, pas besoin d'être excellent : les bonus et les pièges nivellent le plateau. Par la suite, avec les Bullett Bill, carapaces bleues et autres éclairs, l'incertitude est de mise. Le leader au départ, n'est pas forcément celui à l'arrivée... Le tout dans une ambiance bon enfant.
La plupart des jeux dérivés de Mario ont fait long feu (y compris les jeux de plateformes comme Paper Mario.) Super Mario Kart est avec Smash Bros, l'un des seuls à avoir survécu.
A l'arrivée, c'était une idée géniale. Nintendo avait trouvé une formule qui correspondait bien à son public de gamers, plus jeune ou moins doués que la moyenne. Avec Mario Kart, pas besoin d'être excellent : les bonus et les pièges nivellent le plateau. Par la suite, avec les Bullett Bill, carapaces bleues et autres éclairs, l'incertitude est de mise. Le leader au départ, n'est pas forcément celui à l'arrivée... Le tout dans une ambiance bon enfant.
La plupart des jeux dérivés de Mario ont fait long feu (y compris les jeux de plateformes comme Paper Mario.) Super Mario Kart est avec Smash Bros, l'un des seuls à avoir survécu.
jeudi 4 janvier 2018
Olivetti M20
Une pub pour le PC M20 d'Olivetti (1982.) A l'époque, Olivetti était un géant européen de l'informatique. Olivetti était alors une entreprise septuagénaire. Elle avait su se faire une place dans les machines à écrire, en mettant l'accent sur le design et un encombrement réduit. Après une tentative ratée dans l'électronique, elle rebondit dans l'informatique. Et là, elle prenait le virage du PC. Olivetti était une entreprise prospère, qui exportait jusqu'en Asie et pouvait s'offrir le luxe de sponsoriser l'écurie de F1 Brabham...
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